vendredi 2 août 2013

Le cabinet des rêves 134

Car si on écrit ses rêves et si on les communique à des lecteurs, c'est qu'on transforme le monologue nocturne en dialogue, c'est qu'on fait de la nuit une "boutique", donc une pièce ouverte à un public, à une clientèle, non une chambre close.
Roger Bastide. Postface à La boutique obscure de Georges Perec.
E. m'informe que quelque chose s'est passé dans mon appartement, qui concerne ma chambre. 
Je ne vois rien et je suis soulagée. 
Mais, finalement, je m'aperçois que, en effet, un pan du mur est fendu et faussé
Je pense que ça va poser un problème pour ma caution. 

Rêve du 6 juillet 2013

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