dimanche 4 mai 2014

Dogs are everywhere

alors, parce que ce matin-là se leva, pour une fois, gris, je ne rejoignis pas mon tapis de yoga au réveil mais ce fut toi qui revins, au lit, après l'aller-retour à l'école et alors, comme les matins d'hiver sauf que là, il faisait tout sauf froid, nous choisîmes une émission de radio, nous écoutâmes le peintre et ses modèles et ses amis et, à la fin, tu dis Je comprends mieux, pour le chien.
Plus tard... plus tard il fit beau.

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